Another year spent away from social life, soaking in the serene atmosphere of my garden and flowers, remembering the Atharva Veda poems dedicated to medicinal plants that heal both the body and the soul. Enjoying the undulating flights of the cranes during the spring and fall migration. l am so lucky to live in a migratory corridor, and contemplate in awe these mythical inhabitants of another universe. Perseverance is another one, the robot landing on Mars may not changed the world but the first images of the Red Planet were mesmerising, I cannot help but be in awe of the infinite evolving Space. Doesn't the name itself refer to one following a path steadfastly without being waylaid or dismayed by difficulties? A key word that has set the tone for the last two years.
Plantes Médicinales (Atharva 8.7)
Brunes et blanches, rouges et bigarrées, foncées et noires, toutes les Plantes nous les invoquons. Qu'elles sauvent cet homme du mal envoyé par les Dieux. ces Herbes ! leur père est le Ciel, leur mère est la Terre, leur racine est l'Océan.
À l'origine étaient les Eaux et les Plantes du ciel c'est elles qui ont aboli de tous les membres le mal né du péché.
Les Plantes qui jonchent, celles qui forment touffe ou n'ont qu'une tige, celles qui s'étendent, je les invoque ! J'appelle pour toi les Herbes riches en suc, celles qui ont des nœuds et celles qui ont une ramure, les Plantes qui appartiennent à Tous-les-Dieux, les redoutables, celles qui donnent la vie aux hommes.
Avec la puissance qui est vôtre, Ô Plantes puissantes, et la force et la vigueur, délivrez cet homme de ce mal ! je vais préparer le remède.